Communiqué de presse du Centre hospitalier national à Nouakchott
Nous avons été surpris, à l’Administration Générale du Centre Hospitalier National, d’un communiqué publié sur certains sites au nom des médecins traitants en service des urgences du Centre hospitalier national, sans mentionner les noms des signataires de cette déclaration, dont les propriétaires ont affirmé s’être mis en grève en signe de solidarité avec un collègue qui est tombé malade et n’a pas trouvé la sympathie de l’administration.
Par conséquent, nous, dans l’administration, voudrions apporter les points de clarification suivants pour édifier l’opinion publique.
– En premier lieu, l’Administration Générale renouvelle son entière solidarité avec ledit médecin
Dans le communiqué, elle lui souhaite un prompt rétablissement complet.
L’administration confirme avoir demandé aux collègues du médecin précité de lui fournir la facture qu’elle devrait payer et prendre en charge toutes ses dépenses, elle est toujours dans la même position, mais elle n’a pas reçu de réponse à sa demande et certains de ses membres ont même rendu visite au médecin traitant dans les urgences pour s’enquérir de son état de santé.
– L’administration du Centre l’Hôpital National n’est pas liée par un contrat de travail avec ledit médecin ou avec l’un de ses confrères hormis une seule personne.
– L’administration souligne qu’elle a refusé et refuse toujours la demande de contournement des médecins du règlement en inscrivant le nom de leur collègue sur la liste des participants alors qu’il n’est pas présent.
– L’administration confirme que la grève a des procédures légales à suivre et l’administration n’a pas eu une notification jusqu’à présent de la grève susmentionnée, et dans toutes les lois nationales et internationales, Organisation d’une grève des travailleurs de la santé, à l’exception des services des urgences.
Enfin, nous confirmons, à l’Administration Générale du Centre l’Hôpital National, que le Service des urgences fonctionne 24 heures sur 24 de manière naturelle et régulière et il a été renforcé par des médecins, fonctionnaires env